Conformément au souhait des membres du Comité d’Education à la Santé et à la Citoyenneté, le Gendarme DOUDARD de la brigade de proximité de Pouzauges s’est adressé à tous les élèves de 6ème et de 5ème du collège afin de les sensibiliser au harcèlement scolaire et au cyber harcèlement le lundi 7 et le jeudi 10 décembre.
Cette action vient compléter celles conduites le jeudi 5 novembre 2020 lors de la Journée nationale de lutte contre le harcèlement à l’école. En effet, il est important de continuer à sensibiliser fortement nos élèves à ce sujet.
Le harcèlement se définit comme une violence répétée qui peut être verbale, physique ou psychologique. Cette violence se retrouve aussi au sein de l’école : elle est le fait d’un ou de plusieurs élèves à l’encontre d’une victime qui ne peut se défendre. Lorsqu’un enfant ou un adolescent est insulté, menacé, battu, bousculé ou reçoit des messages injurieux à répétition, on parle donc de harcèlement. Insidieusement, ces agressions répétées impactent sensiblement l’enfance et l’adolescence des élèves concernés.
Avec l’utilisation permanente des nouvelles technologies de communication (téléphones, réseaux sociaux numériques), le harcèlement entre élèves se poursuit en dehors de l’enceinte des établissements scolaires. On parle alors de cyber-harcèlement. Le cyber-harcèlement est défini comme « un acte agressif, intentionnel perpétré par un individu ou un groupe d’individus au moyen de formes de communication électroniques, de façon répétée à l’encontre d’une victime qui ne peut facilement se défendre seule ». Le cyber-harcèlement se pratique via les téléphones portables, messageries instantanées, forums, chats, jeux en ligne, courriers électroniques, réseaux sociaux, site de partage de photographies, etc.
Il est donc important de rester mobilisés sur ce sujet.
Les échanges qui ont eu lieu en présence du Gendarme DOUDARD ont permis aux élèves de réaliser que tous les élèves peuvent à un moment de leur scolarité être confrontés à ces situations de harcèlement comme témoin, comme élève harcelé ou pire comme harceleur peut être malgré soi. Le Gendarme DOUDARD a également insisté sur les lois qui encadrent ces infractions, sur les sanctions et les peines encourues. Il a reprécisé, à juste titre, la RESPONSABILITE de chacune et chacun dans ses actes. Les élèves ont également appris que lorsqu’une personne mineure commet un acte de délinquance, ses parents sont eux aussi confrontés à la justice. Ils ne sont pourtant pas coupables aux «yeux» du système judiciaire, mais ils demeurent responsables de leur enfant. Enfin, contre toute idée reçue, il a rappelé que les mineurs capables de discernement sont pénalement responsables des crimes, délits ou contraventions dont ils ont été reconnus coupables, dans des conditions fixées par une loi particulière qui détermine les mesures de protection, d’assistance, de surveillance et d’éducation dont ils peuvent faire l’objet.
Ces échanges et cette rencontre avec le Gendarme DOUDARD auront sans doute parlé à tous nos élèves qui, souhaitons-le, resterons désormais vigilants.
Cette action vient compléter celles conduites le jeudi 5 novembre 2020 lors de la Journée nationale de lutte contre le harcèlement à l’école. En effet, il est important de continuer à sensibiliser fortement nos élèves à ce sujet.
Le harcèlement se définit comme une violence répétée qui peut être verbale, physique ou psychologique. Cette violence se retrouve aussi au sein de l’école : elle est le fait d’un ou de plusieurs élèves à l’encontre d’une victime qui ne peut se défendre. Lorsqu’un enfant ou un adolescent est insulté, menacé, battu, bousculé ou reçoit des messages injurieux à répétition, on parle donc de harcèlement. Insidieusement, ces agressions répétées impactent sensiblement l’enfance et l’adolescence des élèves concernés.
Avec l’utilisation permanente des nouvelles technologies de communication (téléphones, réseaux sociaux numériques), le harcèlement entre élèves se poursuit en dehors de l’enceinte des établissements scolaires. On parle alors de cyber-harcèlement. Le cyber-harcèlement est défini comme « un acte agressif, intentionnel perpétré par un individu ou un groupe d’individus au moyen de formes de communication électroniques, de façon répétée à l’encontre d’une victime qui ne peut facilement se défendre seule ». Le cyber-harcèlement se pratique via les téléphones portables, messageries instantanées, forums, chats, jeux en ligne, courriers électroniques, réseaux sociaux, site de partage de photographies, etc.
Il est donc important de rester mobilisés sur ce sujet.
Les échanges qui ont eu lieu en présence du Gendarme DOUDARD ont permis aux élèves de réaliser que tous les élèves peuvent à un moment de leur scolarité être confrontés à ces situations de harcèlement comme témoin, comme élève harcelé ou pire comme harceleur peut être malgré soi. Le Gendarme DOUDARD a également insisté sur les lois qui encadrent ces infractions, sur les sanctions et les peines encourues. Il a reprécisé, à juste titre, la RESPONSABILITE de chacune et chacun dans ses actes. Les élèves ont également appris que lorsqu’une personne mineure commet un acte de délinquance, ses parents sont eux aussi confrontés à la justice. Ils ne sont pourtant pas coupables aux «yeux» du système judiciaire, mais ils demeurent responsables de leur enfant. Enfin, contre toute idée reçue, il a rappelé que les mineurs capables de discernement sont pénalement responsables des crimes, délits ou contraventions dont ils ont été reconnus coupables, dans des conditions fixées par une loi particulière qui détermine les mesures de protection, d’assistance, de surveillance et d’éducation dont ils peuvent faire l’objet.
Ces échanges et cette rencontre avec le Gendarme DOUDARD auront sans doute parlé à tous nos élèves qui, souhaitons-le, resterons désormais vigilants.
Un grand Merci à la brigade de proximité de Pouzauges et au Gendarme DOUDARD pour cette belle et utile complémentarité au service de la sécurité des plus jeunes et des plus fragiles.